Parents : ayez des temps de qualité

Ayez des temps de qualité

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Nous sommes rapidement happés par notre quotidien qui nous réduit souvent à n’aborder que des sujets qui fâchent ! Devoirs, rangement, etc. Pensez aussi à vous rendre disponible pour des moments légers et de qualité avec votre enfant !

Option 1 : vous ne faîtes que la police

Le parent :
“Tu n’as toujours pas rangé ta chambre, ca fait 2 jours que je te le demande. Et au fait tu as révisé ton devoir de maths?”

⛔️ Inès en a plus que marre et range péniblement sa chambre. En revanche les maths…
Peu à peu, vous risquez de vous éloigner…

Option 2 : au delà des contraintes, vous veillez à avoir aussi des temps de qualité

Le parent :
“Ines, après que tu aies rangé ta chambre, ca te dirait qu’on aille faire un tour ensemble, je devais aller aller voir une boutique ?”

✅ Inès sent que vous êtes disponibles pour partager aussi de bons moments.
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Parents : donnez le choix

Donnez le choix

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Au lieu d’en venir trop rapidement aux ordres et aux menaces, donnez à votre enfant le choix, collaborez avec lui !

Exemple :

Léa est très difficile à motiver quand il s’agit des devoirs…

→ Deux réactions possibles !

Option 1 : ordres et menaces

Le parent :
“Vas tout de suite faire tes devoirs ! Si ce n’est pas fait avant ce soir, tu seras privé d’écrans pour toute la semaine.”

⛔️ Léa se rebelle et va pester dans sa chambre. Sans garantie de résultat ..

Option 2 : donnez le choix !

Le parent :
“Quand penses tu faire tes devoirs ? Dès que tu rentres de cours ou après le goûter ?”

✅ Léa répond et s’engage sur le moment qu’elle consacrera aux devoirs. Le résultat est presque garanti !


Activité "Utilisez le “JE” vs le “TU” qui tue"

Utilisez le “JE” vs le “TU” qui tue

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Pour éviter les conflits qui partent dans les tours, gardez-vous d’utiliser le “tu” accusateur qui fait des ravages, et dites plutôt ce que vous ressentez ou ce que vous aimeriez.

Exemple :

Victor a oublié une nouvelle fois de fermer la porte de la maison à double tours en sortant. 

→ Deux réactions possibles !

Option 1 : vous l’accusez…

Le parent :
“TU as encore oublié de fermé la porte à clé, TU n’es vraiment pas digne de confiance.”

⛔️ Victor se sent jugé et s’emporte à son tour contre vous pour se défendre.

Option 2 : vous dites ce que vous ressentez

Le parent :
“La porte n’était pas fermée à clé, CA M’angoisse de savoir que n’importe qui aurait pu rentrer chez nous.”

OU : ce que vous auriez aimé

Le parent :
“La porte n’était pas fermée à clé, JE m’attends à ce que la dernière personne à quitter la maison s’assure qu’elle est bien fermée”

✅ Victor mesure sa responsabilité.


Parents : saisissez l'actualité comme prétexte

Saisissez l'actualité comme prétexte

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Au lieu d’une conversation officielle sur les sujets sensibles tels que l’alcool, la drogue ou la pornographie, utilisez l’actualité pour ouvrir le dialogue !

Option 1 : conversation officielle.

Le parent :
“Je sais que tu crois tout savoir à propos de la sexualité/drogue, mais je crois qu’il est temps pour nous d’avoir une bonne discussion”

🦪 Oscar se renferme comme une huître et attend péniblement que la conversation passe …

Option 2 : cherchez les petites occasions !

En regardant un film :
Le parent :
“Crois-tu que ce soit comme ça dans la vraie vie ? Est-ce vrai que les jeunes ont du mal à refuser de la drogue parce qu’ils ne veulent pas avoir l’air débile ?”

En lisant un article :
Le parent :
“Quand tu auras le temps, jette un coup d’oeil à cet article qui parle des ados et de la pornographie. Ca m’intéresserait d’avoir ton avis !”

👍 Oscar s’ouvre, pose éventuellement des questions ou se confie, et sait en tous cas que vous êtes là !


Parents : intéressez-vous à son monde

Intéressez-vous à son monde

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Partagez et entrez dans l’univers de votre enfant. S’intéresser à ce qu’il aime (même s’ il s’agit d’influenceurs 😅😂) vous permettra de maintenir le lien et d’ouvrir le dialogue !

Exemple :

Julie, écouteurs sur les oreilles et yeux rivés sur son téléphone, ne répond pas à votre invitation à aller à table.

→ Deux réactions possibles !

Option 1 : critiquez, jugez, ignorez…

Le parent :
“arrête de passer ton temps à regarder ces débilités …”

⛔️ Julie se sent jugée et s’enferme dans sa chambre pour plus de tranquillité. Out le dîner !

Option 2 : intéressez-vous à elle et à ce qu’elle fait !

Le parent :
“j’ai découvert un super compte sur insta pour suivre l’actualité hugodecrypte, tu connais ? C’est lesquels toi tes préférés ?”

✅ Julie répond à sa mère et lui donne ses comptes favoris ! Le dialogue est ouvert !


Parents : Utilisez l'imaginaire

Utilisez l'imaginaire

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Utilisez l’imaginaire pour offrir ce que vous ne pouvez donner en réalité à votre enfant ! Ça évite les frustrations et ça rend la réalité plus facile à accepter.

Exemple :

Léo :
Pourquoi c’est toujours moi qui doit vider le lave-vaisselle !

→ Deux réactions possibles !

Option 1 : réprimandez.

Le parent :
“Arrête de râler, c’est comme ça. Regarde tout ce que je fais pour toi, tu peux bien faire ça”

😖 La mauvaise ambiance s’installe et la vaisselle se range péniblement…

Option 2 : utilisez l’imagination !

Le parent :
“Imagine, comme dans Merlin l’enchanteur, que la vaisselle se range toute seule ça serait fou !”

😀 Léo sourit et finit par vider le lave-vaisselle sans conflit.


Parents : Faites preuve d'empathie

Faites preuve d'empathie

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Retenez-vous de partager votre avis et vos sentiments, mais attachez-vous à reformuler les pensées et les sentiments de votre enfant ! En faisant ainsi preuve d’empathie, vous l’aidez à faire face à la réalité et à trouver le courage d’avancer 🙌

Exemple :

Le parent :
Emilie, quelque chose t’as rendue malheureuse ?

Emilie :
Thomas m’a plaquée !

→ Deux réactions possibles !

Option 1 : faire fi de ses sentiments…

Le parent :
“Bon débarras, il ne m’a jamais plus celui-là.”

⛔️ Emilie se renferme. Fin de la discussion.

Option 2 : décrire ses sentiments !

Le parent :
“Pas surprenant que tu aies autant de peine !”

Emilie :
“J’aurai du m’y attendre. Il passait son temps à rigoler avec d’autres filles…”

Le parent :
“Ah oui, pas facile…”

Emilie :
“Je voulais y croire, mais de toutes façons, ce n’est pas ce genre de personnes que je veux comme petit ami.”

✅ Le dialogue continue, Emilie se sent entendue, elle trouve du réconfort.